Le communisme sur villice ...?

Voila , bon je suis pas un historien mais quand meme je trouve de mettre les impots comme on veux sur villice est un sorte de dictature "de maire"
(meme si le jeu serait un peu compliqué) on devrait créé un sorte de Parlement qui des que l'on veux augmenter les impots il nous l'accorde ou non... je sais que c'est un jeux mais j'aimerais pas habité dans un ville ou les impots peut augmenter sous un claquement de doigt...Si vous me comprenez...

ex:Si j'ai un gros defficite le Parlement m'accorderais une augmentation des impots et si je suis "trop riche" (meme si personne ne l'est) Il me le refuserais et puis il y aurais des donnée comme le moral...l'alimentation enfin voila
Et aussi j'avais fait un article (je sais pas si vous l'avez lu) qui parlait des manifestations...sa marcherais bien avec sa
Merci d'avoir lu
Hésiitez pas a donner votre avis sur ma proposition

Bah, le fait de pouvoir gérer les impôts comme bon te semble fait justement partie de la gestion du jeu. Soit tu monte tes impôts pour avoir plus de sous tout de suite et augmenter plus vite ta ville, soit tu laisse des impôts bas et que tu te rattrape sur la migration. Mais ensuite, tout dépend de ton niveau actuel. Au début, j'avais des impôts maximum, et maintenant toujours au minimum

Non tu as pas compris apparament , je voulais dire au lieu de marché dans ton principe(enfin celui que tu as cité) pourquoi ne pas prendre le mien? Si tu comprend?...Sinon escuse moi je m'exprime pas super bien

Je t'ai donné la réponse.

LeConquerant a écrit:

Bah, le fait de pouvoir gérer les impôts comme bon te semble fait justement partie de la gestion du jeu. Soit tu monte tes impôts pour avoir plus de sous tout de suite et augmenter plus vite ta ville, soit tu laisse des impôts bas et que tu te rattrape sur la migration. Mais ensuite, tout dépend de ton niveau actuel. Au début, j'avais des impôts maximum, et maintenant toujours au minimum

Sa je sais , mais pourquoi pas changé le jeu?

Car après ce n'est plus de la gestion, mais bêtement suivre le troupeau.

Pouvoir choisir ses impôts est la base de la liberté.

Même chose pour le marché, bien qu'il soit saturé