Abusé

L entreprise Gloubidou3 a été nationalisée suite aux problèmes économiques qu engendraient sa production et/ou ses dividendes excessives. L état vous a racheté vos actions à la valeur de 0 vellis par action pour vos 240 actions (Total: 0 vellis)

Dites moi avec 240 actions seulement au cours de 0 veillis comment ce fait-il qu'elle soit nationalisée!!!
Arrêtez les nationalisations on en peut plus on ne peux plus rien faire c'est n'importe quoi!!!

Probablement parce que tu as directement mis ton entreprise en bourse, et que, vu que la valeur de ton entreprise était nulle, tu as produit plus que sa valeur... Résultat = entreprise nationalisée...

Euh oui mais là c'est quand même bien la preuve qu'il faut arrêter les nationalisations non? ça y est les grosses entreprises sont mortes elles ne pourront plus exister et la taxe sur le capital est tel que les autres entreprises ne pourront plus surproduire de veillis...

Alela a écrit:

Euh oui mais là c'est quand même bien la preuve qu'il faut arrêter les nationalisations non? ça y est les grosses entreprises sont mortes elles ne pourront plus exister et la taxe sur le capital est tel que les autres entreprises ne pourront plus surproduire de vellis...

Là tu te trompes grandement, je suis sur qu'en moins d'un mois, tout serait revenu comme avant les nationalisations... (il ne faut pas oublier que le revenu d'entreprise augmente exponentiellement...)
Le truc c'est que à priori, ça ne sert à rien de lancer directement son entreprise en bourse, mieux vaut attendre un peu, sans quoi effectivement on se fait nationaliser...

Non le revenu n'augmente plus aussi exponentiellement qu'avant! Grace au bridage des technologies.

Quand on est au lv20 si on augmente encore le capital les dividendes vont se rediviser dans cette augmentation de capital.
Il est donc plus rentable d'attendre et de réinvestir à chaque fois l'argent gagner.

Or, si c'est plus rentable de réinvestir l'argent gagner au lv20 plutot que de faire des augmentations de capital qui ne feront qu'augmenter les bénéficiaires des dividendes les investissemnts dans les entreprises seront limité.

un exemple:

Si 100 usines produisent 10 unités par heure à un v l'unité et qu'il y a 1000 actions.
En 24 h on aura 240 unités répartis en 1000 actions soit 0.24 v par jour et par actions.
Si on double le capital, on obtient 200 usines produisant 20 unités pour 2000 actions.
En 24h on aura 480 unités répartis en 2 000 actions soit 0.24v par jour et par actions.

Soit la même chose! Voir moins si on compte les 20% de taxes. Et encore moins si on compte que dans ce qui a permit d'acheter les usines il y a les gains des missions et ce qui fut réinvestit lors des périodes précédentes.

Ce qui faisait que les entreprises grandissaient de manière exponentiel était uniquement dut aux technologies! C'était du aux gains de productivités incroyable!

Ici la seule chose à partir du lv20 permettant d'enrichir l'entreprise est de réinvestir encore et encore les bénéfices de l'entreprise. Les augmentations de capital ne sont plus valable à partir de ce niveau.
Vus les gains cadeaux qu'on obtient à la fin des missions il est même plus rentable de faire une multitudes d'entreprises à petit capital ( 1 milliard au max) que d'en faire une immense comme avant.

En l'occurence avec vos nationalisation vous pénalisez plus facilement les entreprises à capitaux moyens que ceux qui ont des gros capitaux à cause des gains par mission...

Bon, pour commencer à régler un problème, je propose une limite à l'entrée en bourse à une certaine valeur. Valeur de l'entreprise 100k par exemple, très vite fait et assure qu'au moins il n'y a plus de problèmes d'action à 0.

Pour ce qui est des moyennes et petites entreprises, j'ai pu comparer entre mes deux entreprises, j'en ai une petite et une grosse (enfin, petite, disons moyenne) j'ai fais une seule augmentation de capital et ma valeur boursière et quelque chose comme 35 fois supérieure à la production hebdomadaire. Donc si les augmentations de capital sont régulières et suffisamment conséquentes, il n'y a rien à craindre pour la nationalisation